BiografieRosemonde GĂ©rard Naissance Ă  Paris de Louise-Rose-Étiennette GĂ©rard, dite Rosemonde GĂ©rard,le 5 avril 1871. Son parrain Ă©tait le poĂšte Leconte de Lisle et son tuteur Alexandre Dumas. En 1890, elle Ă©pouse le 8 avril 1890, Ă  Paris en l'Ă©glise Saint-Augustin, Edmond Rostand, poĂšte comme elle. Dodette Ă©tait son surnom familier. Contrairement Ă  ce Cest en 1907, qu'Alphonse AUGIS, joaillier Ă  Lyon, s'inspirant d'un poĂšme dĂ©diĂ© par la poĂ©tesse Rosemonde GĂ©rard Ă  son mari l'Ă©crivain Edmond Rostand, crĂ©a la mĂ©daille d'amour. Il avait eu l'idĂ©e d'en transcrire les deux vers : "Car vois-tu chaque jour je t'aime davantage Aujourd'hui + qu'hier et bien - que demain." Sous forme Dodette de son surnom familier, s'installe avec sa mĂšre au 107 boulevard Malesherbes Ă  Paris. Rosemonde GĂ©rard signe de son vrai nom Les Pipeaux, parus en 1889. Le 8 avril 1890, elle Ă©pouse Edmond Rostand Ă  Paris en l'Ă©glise Saint-Augustin, avec Jules Massenet comme tĂ©moin. La mĂȘme annĂ©e, elle reçoit le prix Archon-DespĂ©rouses (qu cash. Louise Rose Etiennette GĂ©rard, dite Rosemonde GĂ©rard Biographie + CrĂ©dit photographie + 3 poĂšmes Page 1 sur un total de 2 pages<2 Bonne annĂ©e Ă  toutes les choses Au monde! A la mer! Aux forĂȘts! Bonne annĂ©e Ă  toutes les roses Que l’hiver prĂ©pare en secret Bonne annĂ©e Ă  tous ceux qui s’aiment Et qui m’entendent ici bas
 Et bonne annĂ©e aussi quand mĂȘme A tous ceux qui ne s’aiment pas! Bonne annĂ©e PoĂšmes de Louise Rose Etiennette GĂ©rard, dite Rosemonde GĂ©rard Citations de Louise Rose Etiennette GĂ©rard, dite Rosemonde GĂ©rardPlus sur ce poĂšme Voter pour ce poĂšme 569 votes Janvier nous prive de feuillage ; FĂ©vrier fait glisser nos pas ; Mars a des cheveux de nuage, Avril, des cheveux de lilas ; Mai permet les robes champĂȘtres ; Juin ressuscite les rosiers ; Juillet met l’échelle aux fenĂȘtres, AoĂ»t, l’échelle aux cerisiers. Septembre, qui divague un peu, Pour danser sur du raisin bleu S’amuse Ă  retarder l’aurore ; Octobre a peur ; Novembre a froid ; DĂ©cembre Ă©teint les fleurs ; et, moi, L’annĂ©e entiĂšre je t’adore ! Calendrier PoĂšmes de Louise Rose Etiennette GĂ©rard, dite Rosemonde GĂ©rard Citations de Louise Rose Etiennette GĂ©rard, dite Rosemonde GĂ©rardPlus sur ce poĂšme Commenter le poĂšme Imprimer le poĂšme Envoyer Ă  un ami Voter pour ce poĂšme 666 votes<2Les poĂšmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poĂštes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZAutres poĂ©sies de Louise Rose Etiennette GĂ©rard, dite Rosemonde GĂ©rard+ Result Rosemonde GĂ©rard, Mme Edmond ROSTAND 1871-1953... - Lot 743 - Ader Lot n° 743 Lot n° 743 Estimation 300 - 400 EUR Rosemonde GĂ©rard, Mme Edmond ROSTAND 1871-1953... - Lot 743 - Ader Rosemonde GĂ©rard, Mme Edmond ROSTAND 1871-1953 poĂ©tesse et auteur dramatique sous son nom de Rosemonde GĂ©rard, femme 1890 d'Edmond autographe signĂ©e Rosemonde», Cambo [6 fĂ©vrier 1904], Ă  l'acteur Constant Coquelin, Bien cher Coq»; 13 pages in-12 deuil, et longue lettre au crĂ©ateur de et Edmond Rostand se rĂ©jouissent du succĂšs de Coquelin dans la reprise de Cyrano de Bergerac 680e reprĂ©sentation Nous avons Ă©tĂ© bien heureux de vous savoir si admirĂ©, si applaudi, et aussi de voir combien les journaux rendaient justice Ă  votre magnifique mise en scĂšne et Ă  votre goĂ»t. Nous sommes fous, Ă  distance, du merveilleux dĂ©cor automnal de Ronsin [...] nous avons failli partir pour Paris pour vous revoir au milieu de vos feuilles d'or !» Mais il y a eu des tracas de santĂ©... Sachant que Jacques Richepin annonce une piĂšce sur Polichinelle, Mme Rostand rĂ©dige une dĂ©claration que Coquelin pourrait faire aux journalistes, annonçant que Rostand prĂ©pare une piĂšce pour lui sur ce personnage; elle recommande de ne rien dire du sujet de la piĂšce, et prĂ©cise que Rostand veut mettre l'accent sur le cĂŽtĂ© philosophique» de Polichinelle, alors que Jacques Richepin n'y verra que le cĂŽtĂ© poĂ©tique et funambulesque»...Librairie Les Autographes, 2005. My orders Sale information Sales conditions Return to catalogue L’eternel chanson de Rosemonde Sur notre banc ami, tout verdĂątre de mousse, Sur le banc d’autrefois nous reviendrons causer, Nous aurons une joie attendrie et trĂšs douce, La phrase finissant toujours par un baiser. Combien de fois jadis j’ai pu dire » Je t’aime » ? Alors avec grand soin nous le recompterons. Nous nous ressouviendrons de mille choses, mĂȘme De petits riens exquis dont nous radoterons. Un rayon descendra, d’une caresse douce, Parmi nos cheveux blancs, tout rose, se poser, Quand sur notre vieux banc tout verdĂątre de mousse, Sur le banc d’autrefois nous reviendrons causer. Mon amour se fera plus grave – et serein. Songe que tous les jours des souvenirs s’entassent, Mes souvenirs Ă  moi seront aussi les tiens. Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent Et sans cesse entre nous tissent d’autres liens. Cest vrai, nous serons vieux, trĂšs vieux, faiblis par l’ñge, Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main Car vois-tu chaque jour je t’aime davantage, Aujourd’hui plus quhier et bien moins que demain. Et de ce cher amour qui passe comme un rĂȘve, Je veux tout conserver dans le fond de mon cƓur, Retenir s’il se peut l’impression trop brĂšve Pour la ressavourer plus tard avec lenteur. J’enfouis tout ce qui vient de lui comme un avare, ThĂ©saurisant avec ardeur pour mes vieux jours ; Je serai riche alors d’une richesse rare J’aurai gardĂ© tout l’or de mes jeunes amours ! Ainsi de ce passĂ© de bonheur qui s’achĂšve, Ma mĂ©moire parfois me rendra la douceur ; Et de ce cher amour qui passe comme un rĂȘve J’aurai tout conservĂ© dans le fond de mon cƓur. Nous nous croirons encore aux jours heureux d’antan, Et je te sourirai tout en branlant la tĂȘte Et tu me parleras d’amour 2 te sourirai tout en branlant la tĂȘte Et tu me parleras d’amour en chevrotant. Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec de petits yeux attendris et brillants, Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille Orpheline de pĂšre, Rosemonde Lee, dite Rosemonde GĂ©rard fit connaissance d’Edmond Rostand durant l’étĂ© 1886 Ă  Luchon. Ils s’échangent des vers, et se rĂ©vĂ©lĂ© une vĂ©ritable poĂ©tesse de talent. La famille d’Edmond voit cette rencontre sentimentale dun bon Ɠil et se mariĂšrent en 1890. Elle sera la premiĂšre fan » de son mari, publiera un recueil Ă  compte d’auteur sans qu’il le sache, recopiera ses manuscrits illisibles, le poussera et le soutiendra lorsqu’il doute. Si Rosemonde GĂ©rard n’avait-elle pas Ă©pousĂ© Edmond Rostand, elle aurait Ă©tĂ© connue et cĂ©lĂšbre pour sa valeur personnelle; mais la gloire de son mari a Ă©clipsĂ© sa propre rĂ©putation. Sans ambition personnelle, elle a semblĂ© toute Ă©vouĂ©e Ă  l’art et Ă  la gloire de son mari. Elle Ă©crit alors pour son mari et lui dĂ©die le poĂšme L’Éternelle Chanson » dont ces deux vers deviendront plus tard cĂ©lĂšbres dans le monde entier. HĂ©las, Rosemonde n’a pas vieilli aux cĂŽtĂ© de son Ă©poux, comme elle l’imaginait dans ce poĂšme. Celui-ci, en effet, la quitte en 1915 pour l’actrice Mary Marquet, de 27 ans sa cadette. Mais qui ne durera que trois ans, puisque Edmond Rostand mourra de la grippe espagnole. Mais, d’une 3 qui ne durera que trois ans, puisque Edmond Rostand mourra de la grippe espagnole. Mais, d’une certaine façon, la force de cet mour a vĂ©cu bien au-delĂ  de sa mort et vit toujours. La scĂšne amĂ©ricaine Edward Hopper fait ses Ă©tudes Ă  la School of Art de New York oĂč il est l’élĂšve de Robert Henri ; il voyage en Europe entre 1905 et 1910. partir de 1915, il abandonne temporairement la peinture pour se consacrer, durant huit ans environ, Ă  la gravure et rĂ©alise des pointes sĂšches et des eaux-fortes. Le succĂšs emportĂ© par ses expositions d’aquarelles et de peinture l’impose comme le chef de file des peintres qui peignent la scĂšne amĂ©ricaine ». Sa peinture, puissamment Ă©vocatrice, concerne la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine es annĂ©es 1920-1940 combinant le rĂ©alisme de sa vision avec un sentiment poignant du paysage, des objets et des personnes. Hopper peint des images de la ville ou de la campagne presque toujours dĂ©sertes, des intĂ©rieurs ou se consument Pintime solitude et la profonde tristesse d’hommes et de femmes sans espoir. Sous une apparente objectivitĂ© et une froideur descriptive, ses tableaux expriment un silence et une stupeur presque mĂ©taphysiques proches des toiles de De Chirico,’ son langage utilise principalement la composition gĂ©omĂ©trique, l’extrĂȘme rĂ©duction des dĂ©tails et une lumiĂšre contrastĂ©e, sculpturale et vive.

poÚme de rosemonde gérard à son mari edmond rostand